Reprise de la photo, avec des essais de traitements pour une même photo avec un objectif d’avoir des atmosphère différentes
Comparaison entre 2 type de HDR (1 « impressionniste » 2 » Dramatique » ) réalisé avec le logiciel Aurora HDR
Petit article sur les techniques photo, ou lien vers des articles touchant à la technique photo.
Reprise de la photo, avec des essais de traitements pour une même photo avec un objectif d’avoir des atmosphère différentes
Comparaison entre 2 type de HDR (1 « impressionniste » 2 » Dramatique » ) réalisé avec le logiciel Aurora HDR
Ici il se passe toujours quelques choses!!! Motocross à domicile donc petite sortie pour essayer de faire quelques photos.
Donc vous trouverez 2 nouvelles galeries une en noir et blanc et une en couleurs.
En tout cas impressionné par les pilotes et surtout par les très petits qui ont déjà un regard de folie
Enfin voici une première pour moi 2 photos effet filet mais SANS retouche 🙂
Il y a quelques mois j’avais rédigé un article sur les techniques de bases de la photo, à savoir gérer, l’ouverture, la vitesse et la sensibilité pour obtenir une photographie bien exposée.
En discutant avec un membre du photo-club de Ballainvilliers : site ici , il m’a fait découvrir un site expliquant très bien, et par l’exemple la gestion de ces 3 paramètres.
Je vous partage donc ce lien : c’est ici
Où vous pourrez facilement tester les effets de ces réglages.
Et voici 3 petits exemples.
Donc voici la suite de mon article sur ma technique sur la prise de vue de Goutte.
La base est toujours la même, mais j’ai essayé de mieux maîtriser le pilotage de la chute de la goutte et en particulier, je voulais pouvoir ce faire percuter des goutte entre elles.
Matériel utilisé :
Avec ce système j’utilise que la gravité. Je place mon électrovanne à 80cm au dessus de la surface du récipient. Elle est alimentée en eau par la perfusion. Mon montage électronique pilote l’ouverture de l’électrovanne et le déclenchement de mon APN à la ms près et ceci est paramétrable.
Le montage electronique est basé sur une carte ARDUINO
PS :
Enfin pour les fainéants voici 1 lien vers un site permettant de réaliser de maniére plus pro la partie électronique : Camera Axe
Suite à la publication de quelques gouttes que j’ai réussi à saisir, j’ai souvent eut la demande : Mais comment fais-tu ?
Donc voici 2 petits articles expliquant dans les grandes lignes ma technique.
Avant toute chose il faut savoir que cette technique est empirique et n’est en aucun cas un mode opératoire, c’est juste ma manière à moi.
Dans ce premier article j’expliquerai mes premiers pas avec les gouttes, dans le second j’expliquerai les « petits » perfectionnements que j’ai apporté à la version 1.
Mais entrons dans le vif du sujet.
Matériel utilisé :
Avec ce système j’utilise que la gravité. Je place ma perfusion à 1m au dessus de la surface du récipient. Le goutte à goutte assure la régularité de chute des gouttes dans le récipient. Elle est alimentée en eau par la perfusion. Je déclenche au moment de la percussion de la goutte avec la surface du récipient.
Voici une petite serie de photo abstraite
Votre Avis ?
Voici un petit article sur l’histogramme issus d’un site dont j’ai perdu l’adresse
Si quelqu’un reconnais cet article merci de me l’indiquer pour que je puisses indiquer son origine
L’histogramme qu’est que c’est ?
L’histogramme est une représentation graphique de l’échantillonnage des diverses valeurs des couleurs et lumière composant votre photo. L’histogramme s’affiche sur votre appareil photo, ou sur les logiciels d’édition d’images (Photoshop, Gimp, et autres…). L’histogramme est un outil indispensable pour visualiser et travailler la lumière et les couleurs dans une image.
Comment lire un histogramme ?
L’histogramme principal concerne toutes les couleurs contenues dans une image, et les histogrammes par couleurs affichent les informations relatives aux couches rouge, verte, et bleue qui composent l’image.
Plus on va vers la gauche, plus les tons sont foncés, et plus on va vers la droite, plus les tons sont clairs. Le point situé le plus à gauche est le noir absolu, et le point situé le plus à droite est le blanc absolu.
– Un histogramme long est représentatif d’une image à fort contraste, qui utilise toutes les plages, du plus foncé au plus clair :
– Au contraire, un histogramme qui n’occupe qu’une partie restreinte est représentatif d’une image sans contrastes forts, « fade » :
– Si l’histogramme touche le bord de droite, celà signifie qu’une partie de l’image est sur-exposée, ou « cramée » (= une partie des blancs sont 100% blancs) :
– L’inverse est également valable : si l’histogramme touche le bord de gauche, celà signifie qu’une partie de l’image est 100% noire :
– Un histogramme en dents de scie montre la présence d’une perte de données, qui donne un bruit excessif sur l’image (souvent après des retouches « poussées ») :
Lorsqu’on applique un flou sur cette image, où que l’on réduit le bruit avec un logiciel adapté, l’histogramme devient plus lisse, mais ce lissage reste « artificiel » et l’image perd en qualité.
Comment utiliser l’histogramme lorsqu’on prend des photos ?
Le capteur de l’appareil photo peut seulement capturer des informations dans une certaine plage de tons, plus restreinte que celle de l’oeil humain.
L’histogramme permet de voir si l’on ne dépasse pas cette plage, et si toutes les informations sont contenues dans la courbe. Si la courbe touche le point situé à l’extrème gauche, une partie de l’image sera sous-exposée, et si la courbe touche le point situé à l’extrème droite, une partie de l’image sera sur-exposée (photo « cramée »).
On peut souhaiter ce type de rendu dans le cadre d’images très contrastées, ou de high-key, mais si l’on souhaite simplement transcrire la réalité telle qu’elle est, on veillera à ce que toutes les nuances de tons soient capturées sur l’image, et donc à ce que la courbe soit intégralement contenue dans le graphique fourni par l’histogramme et ne dépasse pas les limites gauche et droite.
C’est particulièrement intéressant lorsqu’il est difficile de voir sur l’écran LCD de l’appareil si la photo est correctement exposée. L’histogramme donne une information objective.
Pour allez plus loin :
Une autre explication de l’histogramme : c’est ici
Qu’est ce que l’hyperfocale?
Ce terme désigne la distance qui sépare l’objectif de la zone de netteté quand la mise au point est réglée sur l’infini pour une ouverture de diaphragme et une longueur de focale données. Ainsi, les sujets compris dans cette zone de l’hyperfocale seront flous. A l’inverse, les sujets situés après cette zone seront nets.
L’hyperfocale pour quoi faire ?
En ajustant son objectif sur l’hyperfocale, on s’affranchit de faire la mise au point, et dans ce cas on peut ce concentrer sur le cadrage. Ce choix permet de gagner du temps sur des prises vues rapides à faire (reportage, animaux, sport..). La mise au point étant déjà reglée, on cadre, et on shoote. Par contre il faut avoir en tête la longueur de l’hyperfocale et donc la distance à partir de laquelle l’objet sera net. Autre avantage, dans certain cas, l’hyperfocale donne également la profondeur de champs la plus grande donc la zone de netteté la plus grande.
L’inconveniant, pour les non matheux, c’est qu’il faut faire quelques calculs pour définir l’hyperfocale.
L’hyperfocale le calcul !!!
Sur certains objectifs, surtout les anciens, l’hyperfocale est inscrite sur l’objectif pour une mise au point donnée. Ce qui facilitait grandement les choses. Aujourd’hui il faut calculer !!!
Allez un peu de math :
Hyperfocale (mm) = (longueur focale²) / (ouverture du diaphragme * cercle de confusion)
Mais comme beaucoup ont un APS-C la formule devient :
Hyperfocale (mm) = (longueur focale²*Coef²)/(ouverture de diaph *cercle de confusion)
Avec
– Le coef. de La longueur focale est à ajuster pour les appareils photos APS-C (coef. 1.6 pour les Canon, ou 1.5 pour les Nikon…).
– le cercle de confusion (CC) est fonction de votre appareil. Pour un 350D Canon le cercle de confusion est de 0.01779mm , pour un 40D il est de : 0.01779mm
Pour le CC de votre appareil : allez faire un tour sur ce site pour choisir la valeur arrondie en fonction de votre appareil.
Exemple de calcul :
Prenons un appareil entré de gamme: le 350D avec un objectif de 50mm et un coefficient d’équivalence 24×36 de 1.6(Canon) pour photographier un paysage. Avec une mise au point manuelle et réglée sur l’infini :
A f/8, l’hyperfocale sera égale à = (50²*1.6²) / (8*0.01779) = 42105 mm soit 42,10 mètres.
Donc en clair :
Le sujet sera net à partir de 21 mètres (distance Hyperfocale/2) et jusqu’à l’infini. A l’inverse tout objet du paysage entre l’objectif et cette distance de 21 mètres sera flou.
Référence :
Définition sur Wikipédia
Liste des valeurs de cercle de confusion en fonction de votre appareil photo
En jouant sur la profondeur de champ, le photographe définit dans son image, la zone qu’il souhaite rendre nette.
Par exemple :
En jouant sur l’ouverture du diaphragme de votre objectif, la longueur de la focale et la distance par rapport au sujet.
Le diaphragme est le mécanisme qui laisse entrée la lumière dans votre appareil. C’est l’obturateur de votre appareil.
Les valeurs courantes du diaphragme s’exprime de la maniére suivante (En gras les valeurs normalisées) :
f:1, f:1.2, f:1.4, f:2, f:2.8, f:4, f:4.5, f:5.6, f:6.3, f:7.1, f:8, f:9, f:10, f:11, f:13, f:14, f:16, f:18, f:22,…
– Focale 50mm
– Mise au point sur « 50 » en étant à 60cm du du point de mise au point
La profondeur de champ, exemple de résultats de calculs de PDC :
Canon 40D + objectif 100mm ouverture max f2.8 : Mise au point sur 1m
Ouverture | Nette Avant | Nette après | PDC |
F2,8 | 0,99 | 1 | 1cm |
F4 | 0,99 | 1,01 | 2cm |
F11 | 0,98 | 1,02 | 4cm |
F22 | 0,96 | 1,04 | 8cm |
Plus la valeur f:x est petite, plus l’ouverture du diaphrame est grande.
Plus l’ouverture du diaphrame est grande, plus la profondeur de champs sera faible.
Plus on sera proche du sujet, plus la profondeur de champs sera faible.
Plus on est loin du sujet, alors la profondeur de champs est de plus en plus importante.
Plus la focale sera grande (200mm,…), plus la profondeur de champs sera faible.
Plus la focale sera courte (ex : 50mm,…), plus la profondeur de champs sera importante.
Wikipedia : La profondeur de champ
Photophiles : La profondeur de champ
Calculateur de PDC : Calculateur