– Dépot Légal : 03/2010 ISBN : 978-2-7234-6783-4 Nb Pages : 160
« Mon ange de bleu
Bleu du ciel
Bleu des rivières
Sources de vie… «
L’histoire :
La vie de Clémentine bascule le jour où elle rencontre Emma, une jeune fille aux cheveux bleus, qui lui fait découvrir toutes les facettes du désir. Elle lui permettra d’affronter enfin le regard des autres.
Mon avis :
Simple et limpide. Une grande et belle histoire d’amour, porté par un dessin efficace. Dans cet album tout est juste l’histoire, le sujet, le dessin les couleurs, il n’y a pas d’esbroufe pour attirer le chaland.
Un vrai roman graphique.
C’est un vrai plaisir de découvrir des livre de cette valeur.
En conclusion :
Un récit tendre et sensible. Tout en justesse. Un grand coup coeur. Il faut le lire.
23 Octobre 1812 : les troupes napoléoniennes ont quitté précipitamment Moscou, laissant la ville aux cosaques et aux pillards assoiffés de vengeance et en quête de larcins. Ils étaient dix, emmenés par Jean-Baptiste Grassien, médecin de l’armée française, à fuir les Russes, avec le froid, la faim, la fatigue et la peur. Ils ne pensaient à rien sinon avancer d’un pas, puis un autre et encore un autre. Ils étaient dix au milieu d’une terre glacée, avec des morts et le froid russe qui commençait à s’étendre.
Mon avis :
Dans le deuxiéme tome de cette trilogie, l’histoire ce durci de plus en plus. Au travers de ce récit, Eric Stalner montre la violence des cosaques, la rudesse des hivers Russe, et donc l’impact de cette violence sur la petite troupe qu’il nous est donné de suivre. A la fin du premier tome ils n’étaient plus que Six à la fin de celui-la ils ne seront plus beaucoup. Le scénario est parfaitement maitrisé et nous tiens en haleine. Les personnages sont bien construit et l’on souffre avec eux.
En conclusion :
Une superbe fresque historique, qui restitue sans fioriture la violence et la rudesse de la débâcle de la Grande Armée. Le troisième tome devrait nous révélé le fin mot de cette histoire. Je suis impatient de suivre Jean-Baptiste dans ce dernier épisode
Kim et ses compagnons d’infortune se sont posés sur Antarès, planète beaucoup plus hostile que leur laissaient croire les commanditaires du projet Antarès.
Séparés en deux groupes, les membres du projet sont plus vulnérables que jamais et le groupe de Kim, parti à la recherche de survivants, doit transporter une femme grièvement blessée.
Leur seul espoir : rejoindre le camp de base mais pour cela ils doivent traverser une zone qui s’avère particulièrement dangereuse bien que située le long de la mer.
Pendant ce temps au camp de base, les responsables ne semblent pas pressés de partir à leur recherche malgré la détermination des amis de Kim…
Mon avis :
Si ce ème tome du monde « Antarès » nous permet encore de découvrir un univers fantastique, l’histoire elle commence un petit peu à faire du sur-place. Les quelques petites péripéties distillées tout au long de ce tome ne sont là que pour nous tirer de la torpeur et des dialogues sentimentaux empruntés. Le rebondissement final est bien sur la pour nous tenir en haleine jusqu’au prochain tome mais ne nous éclaire pas trop sur le mystère principale de cette planète.
En conclusion :
Une série qui commence un peu à s’essouffler, même si l’univers de Léo est toujours aussi imaginatif aux niveaux des mondes (Natures et animaux), l’histoire tire en longueur et n’avance pas beaucoup sur l’aspect mystérieux de la planète. J’espere que cela sera juste un tome de transition.
Il ne s’agit pas d’un article théorique sur la profondeur de champs, mais juste d’une explication simple, du role et de l’utilisation de la profondeur de champ dans la construction d’une photographie. En fin d’article, pour ceux qui veulent aborder les aspects mathématiques de cette notion, trouverons quelques liens qui expliquent par le détail la PDC .
La profondeur de champ, c’est quoi ?
Ce terme designe la profondeur de netteté du sujet sur lequel on a fait la mise au point. Cette profondeur est fonction de la distance entre ce qui est nette avant le sujet et ce qui est nette après le sujet.
La profondeur de champ, pour quoi faire ?
En jouant sur la profondeur de champ, le photographe définit dans son image, la zone qu’il souhaite rendre nette.
Par exemple :
En augmentant la profondeur de champ, les plus grandes parties des sujets seront nets sur une grande distance, l’exemple typique est la photographie de paysage.
En diminuant la profondeur de champ, seule une partie de la photographie sera nette, l’exemple typique est la photographie de portrait.
La profondeur de champ, comment la modifier ?
En jouant sur l’ouverture du diaphragme de votre objectif, la longueur de la focale et la distance par rapport au sujet.
Le diaphragme est le mécanisme qui laisse entrée la lumière dans votre appareil. C’est l’obturateur de votre appareil.
Les valeurs courantes du diaphragme s’exprime de la maniére suivante (En gras les valeurs normalisées) :