Mois : août 2010
Bar à BD : Voyageur
Série de Science fiction en cours. Une série que je vous conseille de tout coeur
Voyageur est un projet original réunissant autour de deux « chefs d’orchestre » du projet, un ensemble d’auteurs prestigieux qui travailleront à l’élaboration de cet opus en 12 tomes. (Aujourd’hui 10 tomes sont terminés)
Avec un rythme de parution rapide (l’ensemble sera publié entre 2007 et 2011) Voyageur bénéficiera du travail de Guarnido, qui signera toutes les couvertures et un album complet, de Bourgne (4 albums), Lambert, Siro, Liberge et Rollin.
Voyageur se compose d’un ensemble de trois séries autour d’un même personnage central, Voyageur, à différents âges et différentes époques : passé, présent et futur.
Dans la série du futur, une aventure initiatique dans un Paris futuriste, délabré et privatisé, aux mains d’un groupe financier qui dirige l’Europe, le récit porte sur l’adolescence du héros et l’émergence de sa capacité à voyager d’abord dans l’espace, puis dans le temps.
Dans la série du présent, un thriller rapide et tendu, Voyageur, âgé d’une vingtaine d’années, a effectué son premier saut quantique vers le passé, un passage qui l’a laissé sans mémoire.
La série du passé, composée de 4 récits complets se déroulant à chaque fois dans une époque différente, montre un Voyageur plus âgé qui part dans le temps non pas pour en modifier le cours, mais, au contraire pour en assurer la pérennité…
© Glénat
Naissance d’une larme
Moment de tendresse…
Fumée 3 !!!
Ou le bonheur de la symetrie !!!
Biarritz : le port
Biarritz : La baie
Fumée 2 !!!
Voici 2 femmes …
Fumée : premier essai
Un peu de fumée, un passage sous Gimp et voici le résultat d’un premier essai.
L’histogramme
Voici un petit article sur l’histogramme issus d’un site dont j’ai perdu l’adresse
Si quelqu’un reconnais cet article merci de me l’indiquer pour que je puisses indiquer son origine
L’histogramme qu’est que c’est ?
L’histogramme est une représentation graphique de l’échantillonnage des diverses valeurs des couleurs et lumière composant votre photo. L’histogramme s’affiche sur votre appareil photo, ou sur les logiciels d’édition d’images (Photoshop, Gimp, et autres…). L’histogramme est un outil indispensable pour visualiser et travailler la lumière et les couleurs dans une image.
Comment lire un histogramme ?
L’histogramme principal concerne toutes les couleurs contenues dans une image, et les histogrammes par couleurs affichent les informations relatives aux couches rouge, verte, et bleue qui composent l’image.
Plus on va vers la gauche, plus les tons sont foncés, et plus on va vers la droite, plus les tons sont clairs. Le point situé le plus à gauche est le noir absolu, et le point situé le plus à droite est le blanc absolu.
– Un histogramme long est représentatif d’une image à fort contraste, qui utilise toutes les plages, du plus foncé au plus clair :
– Au contraire, un histogramme qui n’occupe qu’une partie restreinte est représentatif d’une image sans contrastes forts, « fade » :
– Si l’histogramme touche le bord de droite, celà signifie qu’une partie de l’image est sur-exposée, ou « cramée » (= une partie des blancs sont 100% blancs) :
– L’inverse est également valable : si l’histogramme touche le bord de gauche, celà signifie qu’une partie de l’image est 100% noire :
– Un histogramme en dents de scie montre la présence d’une perte de données, qui donne un bruit excessif sur l’image (souvent après des retouches « poussées ») :
Lorsqu’on applique un flou sur cette image, où que l’on réduit le bruit avec un logiciel adapté, l’histogramme devient plus lisse, mais ce lissage reste « artificiel » et l’image perd en qualité.
Comment utiliser l’histogramme lorsqu’on prend des photos ?
Le capteur de l’appareil photo peut seulement capturer des informations dans une certaine plage de tons, plus restreinte que celle de l’oeil humain.
L’histogramme permet de voir si l’on ne dépasse pas cette plage, et si toutes les informations sont contenues dans la courbe. Si la courbe touche le point situé à l’extrème gauche, une partie de l’image sera sous-exposée, et si la courbe touche le point situé à l’extrème droite, une partie de l’image sera sur-exposée (photo « cramée »).
On peut souhaiter ce type de rendu dans le cadre d’images très contrastées, ou de high-key, mais si l’on souhaite simplement transcrire la réalité telle qu’elle est, on veillera à ce que toutes les nuances de tons soient capturées sur l’image, et donc à ce que la courbe soit intégralement contenue dans le graphique fourni par l’histogramme et ne dépasse pas les limites gauche et droite.
C’est particulièrement intéressant lorsqu’il est difficile de voir sur l’écran LCD de l’appareil si la photo est correctement exposée. L’histogramme donne une information objective.
Pour allez plus loin :
Une autre explication de l’histogramme : c’est ici